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Félicitation à Ketsia pour sa réussite au concours « prépa ATPL » de l’Ecole Nationale de l’Aviation Civile. Elle finit 4ème d’un concours extrêmement sélectif qui lui ouvre la formation de pilote de ligne au sein de l’ENAC… Encore une fille… Ema rejoint l’Ecole des Pupilles de l’Air de Grenoble en classe préparatoire scientifique. Brillante elle a déjà certainement dans la tête l’objectif de rejoindre dans deux ans, l’Ecole de l’Air… Pierre rejoint, lui aussi, L’Ecole des Pupilles de l’Air de Grenoble en « Cycle Pluridisciplinaire d'Études Supérieures » avec, bien évidemment, l’objectif de la classe préparatoire scientifique l’an prochain. Inés intègre, elle, après math sup et math spé, l’ENSIACET de Toulouse. Future ingénieure elle garde l’objectif de se spécialiser en aéronautique et nous réserve probablement de belles surprises… Kylian rentre en classe préparatoire intégrée à l’IPSA Toulouse (école d’ingénieurs de l’air de l’espace et de la mobilité durable) avec bien évidemment l’objectif de devenir ingénieur aéronautique. Il en est de même pour Grégoire qui, lui, rejoint les classes préparatoires intégrées de L’ELISA Aérospace de Bordeaux. Joan quitte aussi le Roussillon pour la classe de BTS aéronautique de Vitrolles. Plus « casaniers » Hermeline, Noémie, Thomas et Yann restent au lycée Arago pour débuter deux années de classe préparatoire scientifique avec, eux aussi, l’objectif de carrières professionnelles dans le monde de l’aérien… Enfin Wassin engage, courageusement, une formation, à ses frais, de Pilote de Ligne. Souhaitons lui le même succès que Valentin qui, trois ans après avoir intégré une telle formation, est depuis mai dans le cockpit des Boeing 737 de Ryanair. Seule déception de cette remarquable année, déception partagée avec le CIRFA Air de Perpignan et la Direction des Ressources humaines de l’Armée de l’Air et de l’Espace, aucun élève n'intègre, en classe de première, l’Ecole d’Enseignement Technique de l’Armée de l’Air… En 3 ans, 10 élèves avaient intégré cette structure pour, aujourd’hui, de très beau parcours. Gageons que le COVID qui aura confiné nos élèves dans le « douillet cocon familial » aura certainement eu une influence sur la motivation de jeunes adolescents de 16 ans…